Ici nous traduisons le billet annoncé dans le titre, daté du 27 Juillet 2011, de Harald Hau (Professeur d’Économie et de Finance, Institut Suisse de Finance, CEPR.
[Décharge : ceci est notre traduction, sans aucune consultation avec l'auteur.]
La semaine dernière, 109 milliards d’euros se sont ajoutés au 110 déjà prévus pour sauver la Grèce. Comment le contribuable de l’euro s'est-il laissé exproprié d’une telle somme par les créanciers (en majorité, les 5% les plus riches de la planète)? Si on fait les comptes, les 21% de provisions demandés au créanciers représentent une faible somme en regard des 109 milliards d’euros du secteur publique, surtout lorsqu’on sait que le marché incorporait auparavant une décote de 50%.